Découvrez sur cette page toutes les citations de la saga Twilight qui sont cultes, ou pas ! Un vrai bonheur ces citations twilight
Sans plus attendre les Twilight Quotes :
Isabella Swan, je te jure de t’aimer pour la vie, chaque jour restant jusqu’à la fin du monde. Acceptes-tu de m’épouser ?
Le clébard est encore dans les parages?
Je suis super-content qu’Edward ne t’ait pas tuée. Avec toi, on se marre drôlement plus.
– Voudrais-tu s’il te plaît cesser de te déshabiller, Bella ?
– Tu préfères t’en charger ?
– Je vais jouer pour toi. Pierre, papier, ciseaux.
– Pourquoi tu ne me dis pas juste qui gagne ?
– Je gagne. Excellent
– Et que le meilleur gagne ! Le meilleur homme, s’entend.
– C’est ça … chiot.
Avant toi, Bella, reprit-il ensuite, ma vie était une nuit sans lune. Très noire, même s’il y’avait des étoiles – des points de lumière et de raison … Et puis, tout à coup, tu as traversé mon ciel comme un météore. Soudain, tout brûlait, tout brillait, tout était beau. Quand tu as eu disparu, quand le météore est tombé dérrière l’horizon, tout s’est de nouveau assombri. Rien n’avait changé, sauf que mes yeux avaient été aveuglés par la lumière. Je ne distinguais plus les étoiles, et la raison ne signifiait plus rien.
– Un Mississipi… Deux Mississipi…
– Et l’inondation, espèce de cabot? marmonna Rosalie
-Tu sais comment on noie une blonde, Rosalie? En collant un miroir au fond d’une piscine.
Et le lion s’éprit de l’agneau… murmura-t-il.
Exaltée, je détournai la tête et dissimulai mes yeux.
– Quel imbécile, cet agneau ! soupirai-je.
– Quel fou, ce lion… Quel masochiste …
Il s’abîma dans la contemplationde la forêt ombreuse, entraîné par des pensées secrètes
– Tu t’es encore cassé la figure, Bella? rigola-t-il.
– Non, rétorquai-je mauvaise. J’ai filé un coup de poing dans la tronche d’un loup-garou.
-Je n’en reviens pas. Comment un être aussi chétif peut-il être aussi agaçant?
– Le talent, mon cher, le talent !
J’ai commencé à te haïr au moment ou tu m’as obligé à te désirer.
Je rêve d’être éternellement à tes cotés.
Je n’ai jamais songé à la manière dont j’allais mourir, mais mourir à la place de quelqu’un que j’aime semble être une bonne façon de partir. Je ne regrette pas les décisions qui m’ont menées ici car elles m’ont aussi rapprochées d’Edward.
Et si je n’étais pas le héros ? Et si j’étais… Le méchant ?
Tout en moi a été conçu pour te sembler attirant, ma voix, mon visage, et même mon odeur. Comme si j’avais besoin de tout ça. Comme si tu pouvais m’échapper. Comme si tu pouvais te battre contre moi !
La mort est paisible, simple. C’est beaucoup plus difficile de vivre.
– C’est parti !
– Ouais… Tu sais tout le monde nous regarde.
– Pas lui en tout cas ! Ah ça y est il nous regarde. De toute façon j’ai brisé toute les règles, quitte à finir en enfer. [Il met son bras autour des épaules de Bella]
– C’est ça que tu veux ?
– C’est toi que je veux, pour toujours.
Tu es toute ma vie maintenant.
– C’est donc ce à quoi tu rêves ? Devenir un monstre ?
– Pas tout à fait, mon rêve c’est surtout d’être avec toi pour l’éternité.
Je meurs déjà. Tous les jours, chaque seconde je m’en approche. Je vieillis.
J’étais à peu près certaine de trois choses. Un, Edward était un vampire ; deux, une part de lui – dont j’ignorais la puissance – désirait s’abreuver de mon sang ; et trois, j’étais follement et irrévocablement amoureuse de lui.
– Tu es incroyablement rapide et fort, ta peau est blanchâtre et toute glacée, tes yeux changent de couleur, il t’arrive de parler comme si… Comme si tu venais d’une autre époque. Tu refuses de boire ou de manger quoi que ce soit, tu ne t’exposes jamais au soleil, tu as quel âge ?
– J’ai 17 ans.
– Tu as 17 ans depuis combien de temps ?
– Un bout de temps…
– Je sais ce que tu es.
– Dis le. À voix haute. Dis le !
– Un vampire.
– As-tu peur ?
– Non.
– Et maintenant pose moi la question essentielle : « de quoi vous vous nourrissez ? ».
– Tu ne me feras pas de mal.
Je crois que je n’ai plus la force d’être loin de toi un instant.
– Et voila que le lion s’est épris de l’agneau…
– Comme l’agneau est stupide…
– Oui et quel masochiste ce lion !
– Je suis folle c’est ça ?
– Tu vois, je te dis que je lis dans les pensées et tu crois que c’est toi qui est folle…
– On vas où ?
– Plus haut sur la montagne. Au dessus des nuages. Il faut que tu vois de quoi j’ai l’air au soleil ! […]
– Voilà pourquoi on ne sort jamais lorsqu’il fait soleil, la différence se verrait… C’est ce que je suis.
– On dirait des diamants ! Tu es magnifique !
– Magnifique ? Tu as devant toi la peau d’un tueur Bella !
Tu es comme une drogue pour moi, c’est comme si tu étais ma propre dose d’héroïne.
– Je ne veux pas mettre fin à tes jours.
– Je meurs déjà… Tous les jours, chaque seconde je m’en approche, je vieillis.
– C’est comme ça que ça doit se passer.
– Je suis un tueur Bella.
– Je m’en fiche.
– J’ai déjà tué auparavant.
– Peu importe.
– J’ai voulu te tuer… C’est la première fois de ma vie que je désire le sang d’un être humain à ce point-là.
– Je te fais confiance.
– Faut pas.
– Je suis ici, je te fais confiance.
Comporte toi comme un humain, j’ai des voisins j’te rappelle !
– Quoi ?
– J’suis nulle en danse…
– J’devrais peut-être te forcer…
– J’ai pas peur de toi…
– Tu sais que t’aurais jamais du dire ça ?
– Tu sais que… Je ne peux pas lire dans tes pensées… Il faut que tu me dises à quoi tu penses.
– Maintenant j’ai peur…
– Bien…
– Mais je n’ai pas peur de toi, j’ai seulement peur de te perdre, j’ai l’impression que tu vas disparaître…
– Si tu savais depuis combien de temps je t’attends… C’est ainsi que le lion tomba amoureux de l’agneau…
– Un agneau vraiment stupide.
– Avec un lion maso et fou à lier…
– Tu es seul parce que tu es plus rapides que les autres, mais tu n’es pas plus fort !
– Je suis assez fort pour te tuer !
Je peux lire dans les pensées des gens qui sont ici ; argent, argent, sexe, argent, chat ?!
Dans ma famille, on n’est pas comme les autres de notre espèce. On ne chasse que les animaux, on a appris à contrôler notre soif. Mais c’est toi et, ton parfum, t’es comme une drogue pour moi. C’est comme si t’étais ma propre… Marque d’héroïne…
– Ravie de vous voir, il nous faut une arbitre.
– Elle croit qu’on triche.
– Je sais que vous trichez. Sifflez à votre guise, Bella.
– Bella, je n’ai plus la f… Je n’ai plus la force de rester à l’écart de toi.
– Alors laisse-toi aller.
– Pourquoi tu me détestais tant au début ?
– Je te haïssais, mais, seulement parce que tu as fait naître un si grand désir en moi, je ne sais toujours pas si j’arriverai à me contrôler.
– Je suis sûre que tu peux.
Maintenant j’ai peur, mais pas de toi, seulement de te perdre.
– Pourquoi je ferais ça ? Qu’est ce qu’elle représente pour moi ?
– Bella est avec Edward, elle est de notre famille… Et on protège notre famille.
Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m’en mêlerai plus. Ce sera comme si je n’avais jamais existé.
– Je sais ce que tu es…
– Dis-le… Dis-le à voix haute…
– Un vampire.
– As-tu peur ?
– Non.
– Quel âge as-tu ?
– 17 ans.
– Depuis combien de temps as-tu 17 ans ?
– Un moment.
Accroches toi spider monkey !
Personne ne rendra les armes ce soir. Mais je ne céderai pas. Je sais ce que je veux.
Je ne peux pas me laisser aller avec toi.
– Navré, Jasper est végétarien depuis peu, c’est encore difficile pour lui.
– Ravi de te… connaître.
– Ça va aller Jasper, tu ne lui feras rien.
– Prenez la place de ceux qui allaient s’en aller. À moi la batte.
– Et à moi la balle courbe d’enfer.
– C’est pas ça qui nous empêchera de gagner.
Mon monkey man!
T’as apporté le casse-croûte ?
Alice, tu as disparu comme tout le reste. Maintenant à qui d’autre parler, je suis perdue. Quand tu es partie… et qu’il est parti, vous avez tout emporté avec vous. Et son absence remplit mon horizon. Comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine. D’une certaine façon je suis heureuse, ma souffrance est la seule preuve de sa réalité, de votre réalité.
Tu es ma seule raison de rester en vie si je puis dire.
Quand la vie vous a fait don d’un rêve qui a dépassé toute vos espérances, il serai déraisonnable de pleurer sur la fin…
– Tu n’es pas de mon monde, Bella.
– Mais mon monde, c’est toi.
Ne me demande pas de choisir, Jacob ! Parce que ça sera lui. C’est lui depuis le commencement !
Son absence a envahi tout mon horizon, comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine…
Épouse-moi, Bella.
– Il a raison. Tu ne devrais pas devenir ce que je suis.
– Je n’y arriverais pas toute seule.
– Je t’en prie rien ne presse. Accorde-moi… cinq ans.
– C’est trop long.
– Trois ?… Quelle tête de mule.
– Qu’est-ce que tu attends ?
– Je pose une condition, si tu veux vraiment que je le fasse moi-même.
– Quelle condition ?
– Et ce sera pour l’éternité.
– Je ne demande que ça.
– Épouse-moi, Bella.
Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu que leur baiser consume.
Je suis bien là, et je t’aime. Je t’ai toujours aimée et je t’aimerai toujours. J’ai pensé à toi, j’ai imaginé tes traits durant chaque seconde de mon absence. Quand je t’ai dit que je ne voulais plus de toi, c’était le pire des blasphèmes.
J’ai lu dans tes yeux que tu pensais profondément que je ne voulais plus de toi. La chose la plus absurde, la plus ridicule qui soit. Comme si je pouvais exister sans toi !
Il fallait que je bouge. Si je cessais de le chercher, c’en était fini de l’amour, de la vie, de la raison. J’avançais, j’avançais encore, j’avançais toujours. Les heures défilaient qui me semblaient que des secondes.
Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m’en mêlerai plus. Ce sera comme si je n’avais jamais existé…
Je reviendrai quand tu auras sorti le chien !
– Théoriquement, on n’enfreint pas son règlement. Il a dit que je n’avais pas le droit de passer cette porte, je suis venu par la fenêtre. Il ne me pardonnera pas aisément.
– Je sais.
– Et toi ? J’espère que tu pourras parce que j’ignore totalement si je pourrais vivre sans toi. [Ils s’embrassent]
– Quand… Alice m’aura transformée, on ne se quittera plus.
– Elle n’aura pas à te transformer. On peut très bien laisser les Volturis dans l’ignorance.
– Non… Non. [Elle se rend chez les Cullen]
Il faut apprendre à aimer ce qui nous fait du bien.
– Arrêtez ! Je vous en supplie ! [Elle se réveille]. Tu es là.
– Endors-toi. Tu me trouveras à ton réveil. Bella, si je suis parti loin de toi, c’est… c’est parce que je croyais devoir te protéger. Je voulais que… que tu aies enfin un chance de vivre une… une vie heureuse et normale.
– Ça n’a pas eu l’air de te faire beaucoup de peine.
– Je n’ai vraiment rien fait d’aussi difficile en plus d’un siècle. Je promets de ne plus jamais te faire souffrir. Pardonne-moi, je t’en prie. Charlie arrive…
Ce sera comme si je n’avais jamais existé.
T’entendre respirer est mon cadeau le plus précieux.
Ne jamais croire un vampire… Crois-moi !
– Tu as froid. Rapproches-toi.
– Tu es si brulant.
– Le pouvoir des loups-garous.
– Non le pouvoir de Jacob. Tu es ton propre soleil.
L’éternité sans toi ne m’intéresse pas.
– Tu étais le soleil qui compensait les nuages de ma vie.
– Je peux combattre les nuages. Pas une éclipse !
Je suis tellement heureux que tu ailles bien que ça me donne envie de chanter.
The citation twilight.
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